Le 21 novembre, l’analyste de marché IFR Divyang Shah a déclaré que la Banque centrale européenne avait publié les données sur les salaires négociés des employeurs et des représentants syndicaux au troisième trimestre, soit une augmentation de 5,4 % en glissement annuel, contre 3,4 % au deuxième trimestre et 4,1 % au premier trimestre. M. Shah a déclaré que, bien que cette augmentation soit record, elle doit être interprétée avec prudence : 1) elle reflète principalement l’Allemagne et les primes ponctuelles ; 2) Comme les salaires rattrapent l’inflation, il est peu probable que cela se reproduise à l’avenir. Dans le cas de la Banque centrale Europe, la banque privilégie son propre système de suivi de la paie prospectif, qui laisse présager un ralentissement significatif des salaires en 2025. La Banque centrale Europe a souligné dans le compte-rendu de sa réunion d’octobre que le suivi de la masse salariale pointe vers un « ralentissement de la hausse de la masse salariale en 2025 » et que les données de l’enquête montrent une « décélération significative de la hausse de la masse salariale au cours de l’année à venir ». Les données sur les salaires du troisième trimestre de la Banque centrale européenne ne devraient pas modifier les perspectives de la politique monétaire, la Banque centrale européenne penchant toujours pour une baisse de 25 points de son taux de base à chaque réunion, le taux d’intérêt des dépôts tombant à 2,00 %, contre 3,25 % actuellement, au moins jusqu’en juin 2025.
Analyst: La forte augmentation des salaires au troisième trimestre ne changera pas les perspectives de politique de la Banque centrale européenne
Le 21 novembre, l’analyste de marché IFR Divyang Shah a déclaré que la Banque centrale européenne avait publié les données sur les salaires négociés des employeurs et des représentants syndicaux au troisième trimestre, soit une augmentation de 5,4 % en glissement annuel, contre 3,4 % au deuxième trimestre et 4,1 % au premier trimestre. M. Shah a déclaré que, bien que cette augmentation soit record, elle doit être interprétée avec prudence : 1) elle reflète principalement l’Allemagne et les primes ponctuelles ; 2) Comme les salaires rattrapent l’inflation, il est peu probable que cela se reproduise à l’avenir. Dans le cas de la Banque centrale Europe, la banque privilégie son propre système de suivi de la paie prospectif, qui laisse présager un ralentissement significatif des salaires en 2025. La Banque centrale Europe a souligné dans le compte-rendu de sa réunion d’octobre que le suivi de la masse salariale pointe vers un « ralentissement de la hausse de la masse salariale en 2025 » et que les données de l’enquête montrent une « décélération significative de la hausse de la masse salariale au cours de l’année à venir ». Les données sur les salaires du troisième trimestre de la Banque centrale européenne ne devraient pas modifier les perspectives de la politique monétaire, la Banque centrale européenne penchant toujours pour une baisse de 25 points de son taux de base à chaque réunion, le taux d’intérêt des dépôts tombant à 2,00 %, contre 3,25 % actuellement, au moins jusqu’en juin 2025.